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PRéventions

Nos interventions tiennent compte des niveaux de compréhension et des programmes scolaires.  Elles s’articulent autour de 4 thèmes:

 

1 - LA CONSTRUCTION DU CERVEAU ENTRE 13 ET 25 ANS:

Au plus près des dernières découvertes des neurosciences nous les invitons a prendre conscience que les drogues ne font pas bon ménage avec la construction de leur cerveau entre 13 et 25 ans : l’abstinence naturelle est la meilleur façon de participer activement au développement de leurs capacités intellectuelles mais aussi au développement de leurs compétences émotionnelles et psycho-sociales : refuser une offre, apprendre à dire non, ne pas faire comme tout le monde, demander de l’aide en cas de besoin, autant de compétences protectrices qui s’apprennent pendant l’adolescence et entre ami(e)s.

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2 - LES DANGERS DES USAGES PRÉCOCES DE DROGUES:

Retarder l’âge des premiers usages est un impératif pour que les élèves se développent et poursuivent leur cursus scolaire sans dommage. Plus on commence tôt et plus le risque de devenir dépendant d’une drogue est élevé. Aujourd’hui encore en France :

- C’est pendant les années collèges que les élèves passent de l’expérimentation à l’usage répété.

- C’est pendant les années lycée que les mauvais usages s’installent et engendrent des dépendances précoces aussi bien au tabac, à l’alcool qu’au cannabis.

- C’est au cours des 2 premières années d’études supérieures que les dégâts dus aux usages trop précoces et des usages abusifs se font particulièrement sentir. Même si les statistiques nationales montrent qu'entre 7% et 10% des collégiens sont déjà concernés par des usages abusifs entraînant chez eux des difficultés aussi bien au plan scolaire qu'au plan psychologique, affectif et social.

 

Lorsqu’on demande aux élèves ce qu’ils estiment important de retenir de nos interventions 2 items arrivent en tête :

«Plus on commence tôt une drogue et plus le risque de devenir dépendant est élevé».

«La construction de notre cerveau va jusqu’à 25 ans».

 

3 - LES DANGERS DES USAGES RÉPÉTÉS «COPIÉS-COLLÉS»

La grande majorité des élèves expérimentent et consomment des drogues par imitation et sont largement influencés par les médias et par des élèves à peine plus âgés qu’eux. Ces consommations «copiées-collées» leurs font prendre des risques considérables dont ils ne mesurent pas réellement tous les dangers. Faire le point sur les usages, les périodicités, et les occasions de consommer est essentiel pour éviter aux élèves des déboires considérables qu’il s’agisse de leur santé ou de leurs résultats scolaires.

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4 - NOTRE VÉCU POUR RENFORCER LES ACQUISITIONS SCIENTIFIQUES

Fournir aux élèves des informations scientifiques est essentiel pour qu’ils prennent conscience de leur vulnérabilité entre 13 et 20 ans. Mais ce sont nos témoignages vécus qui valident les données scientifiques. Plus de 80% des élèves placent nos témoignages en tête de ce qu’ils préfèrent lors de nos interventions.

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CE QUE LES ÉLÈVES PENSENT DE NOS INTERVENTIONS :

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95% des élèves les trouvent UTILE ou TRÈS UTILE

96% des élèves les trouvent INTÉRESSANTE OU TRÈS INTÉRESSANTE

90% des élèves les trouvent SIMPLE OU TRÈS SIMPLE A COMPRENDRE

 

LES ÉVALUATIONS FAITE EN 2018 ET 2019 témoignent de 3 changements notables chez les élèves :

 

1 - Les questions qu’ils posent portent moins sur les produits et plus sur les processus qui mènent à l’addiction. Ils ont conscience que de devenir addict cela peut arriver à tout le monde.

 

2 - Cette modification des perceptions est particulièrement sensible lorsque les professeurs «préparent les élèves» à nos interventions par des cours sur la «fabrique du cerveau» et sur les mécanismes qui favorisent les addictions. Les redites et la validation des savoirs par différentes sources d’informations crédibles au sein d’un même établissement sont donc des pistes à suivre et à développer en partenariat avec les établissements scolaires : 50 % des élèves souhaiteraient que les professeurs poursuivent nos interventions dans le cadre des programmes scolaires.

 

3 – Cette modification des perceptions s’accompagne également d’un nouveau besoin : pouvoir parler «sereinement» des addictions avec les parents. «Sortir de l’interdit sans dialogue» pour aller vers un contrat de confiance gagnant-gagnant entre parents et enfants mais aussi développer l’entraide au sein de la famille et vis-à-vis de ses membres addicts : 58% des élèves souhaiteraient partager avec leurs parents ce qu’ils apprennent ou découvrent lors de nos interventions et pas seulement pour eux-mêmes: dans chaque classe un ou plusieurs élèves manifestent le désir de venir en aide à un parent ou un proche addict qui voudrait s’arrêter mais n’y arrive pas.

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VOUS VOULEZ EN SAVOIR PLUS SUR NOS INTERVENTIONS EN MILIEU SCOLAIRE OU ASSOCIATIF ?

VOUS POUVEZ NOUS JOINDRE PAR MAIL : lephare69@gmail.com ou PAR TÉLÉPHONE au 04 78 28 83 14  ou au 06 41 98 52 29.

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Claire

Conférencière et formatrice. Associations familiales/REAAP

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Pour faire remonter l'âge des premières exprimentations de drogues après 18 ans, toutes les grandes personnes doivent savoir de quoi elles parlent

Vincent

Formateur Jeunesse. Conférentier REAAP et associations familiales

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